Le XXème arrondissementC'est la campagne à ParisBelleville, Ménilmontant...Le Père Lachaise


Les Rigoles

Bar, bistrot, brasserie à l’ambiance de Belleville. Clientèle d’habitués attirés les prix doux. Le couscous est généreux et mérite qu'on y retourne. Année 2019 - 29 euros ( 01 46 36 65 58 - 334 rue des Pyrénées


Mijo T

Bon accueil dans cet établissement simple d’une patronne qui sait choisir ses produits et soigne sa cuisine. Résultats le plus souvent convaincants. Bon foie gras avec du gingembre qui rehausse le goût, fondue d’épinards à la crème de Roquefort un peu chiche en épinards, le carré d’agneau aux herbes est trop fort en ail, la mousseline de chou fleur qui accompagne le magret sauce foie gras est parfaite. Les clémentines rôties remplacent peu judicieusement les figues, le croquant au noix/chocolat est parfaitement accompagné d’un sorbet champagne. Si l’expérience est intéressante, les prix refroidissent l’enthousiasme. Année 2023 - 78 euros ( Tel 01 47 97 25 77 - 6 rue Victor Letalle

Au bon Moment comme à la Maison

Vaste choix de couscous et tajines. Faîtes vous conseiller pour trouver dans votre choix vos ingrédients préférés. Entrées classiques et bonnes (salade marocaine, caviar d'aubergine), couscous agneau & merguez correct sans plus, desserts variables (crumble chiche en pomme et raisins). Service familal et amical, aucun effort de décoration. Année 2019 - 34 euros ( 01 71 37 69 47 - 18 rue de Lagny


Tripletta

Clin d'oeil au film de Chaumet, "Les Triplettes de Belleville", le Tripletta est la version italienne du "Triplettes", établissement voisin. Décoration un peu foutraque, la disposition des tables l'est aussi. Pizzas assez chères mais bonnes, de même le tiramisu. Année 2019 - 33 euros ( 01 42 54 72 80 - 88 boulevard de Belleville

La Mère Lachaise

Ambiance bistrot, cuisine bistrot, service bistrot. Gastronomiquement très correct pour le prix si on profite d'une réduction de 50% sur la carte... Tomates grand mère mozzarella, saumon fumé, tranches trop fines de foie gras, tartare accompagné de bonnes chips épaisses. Année 2016 - 33 euros ( 01 47 97 61 60 - 78, Boulevard de Ménilmontant


Le Vingtième Art

La critique aussi est un art.. Nous voici dans un des nombreux bistrots repris par des vrais cuisiniers, pour la plus grande joie des bobos gourmands, mais avec des fortunes diverses. Celui là est plutôt bon. Belle terrine épaisse de pigeon et canard, servie avec un mesclun proprement assaisonné et une compote de mangue. Les plats sont moins réussis: crumble de confit de canard, déja vu ailleurs sous l'appellation parmentier, et selle d'agneau nappée d'une sauce inutile, mais accompagnée d'une purée réussie et de petits legumes bouillis. Très bons desserts : blanc manger à la mangue (fruit fétiche du chef dirait-on) et coco, tarte fine au chocolat et cardamome. La carte des vins fait presque l'impasse sur les bordeaux, notre Corbières à 30 euros (quand même) était bien chaleureux. Année 2006 - 45 eur ( 01 43 67 22 29 - 76 rue des Vignoles

La Maroquinerie

Grande salle bruyante de la salle de spectacle éponyme. Nous ne suivons pas le chef sur certaines de ses propositions audacieuses comme les beignets de camembert et de banane en entrée. Bien nous en pris car nos petits encornets farcis aux légumes de méditerranée étaient très bons. Pour suivre, filets de rougets, entrecôte sauce wasabi. En dessert, les classiques comme une tarte fine aux figues et à la rhubarbe, un sablé aux fruits rouges. Le tout très honorable et constituant une bonne surprise, la cuisine n'étant pas la raison d'être de ce lieu. Année 2009 - 20 eur ( 01 40 33 64 85 - 23 rue Boyer

Restaurant du Théâtre de la Colline

Quelques tables plutôt sympathiques pour se donner rendez-vous avant la pièce de théâtre (on peut d'ailleurs y venir juste pour manger). Carte courte, service rapide, petits plats bien troussés. On vous sert d'office une petite salade en attendant le plat commandé, pour nous ce furent des pennes forestières, bien crémeux. Année 2004 - 19 eur ( 01 44 62 52 52 - 15 rue Malte Brun

Zabar Café

Deux jolies salles en enfilade, dans des tons chaleureux. La carte est courte et un peu mode (pavé de thon, d'espadon, tartares poêlés autrefois connus sous le nom d'hamburgers) mais ce que nous voulons manque à l'appel, c'était bien la peine. Bref, salade au crottin (oui, mais de ch.....avignol), et tartares poêlés, donc. Rien de tartare, de simples bons steacks hachés, avec des sauces au choix ( poivre, bordelaise, béarnaise..). Tiramisu un peu industriel. La salle vient d'être reprise par un nouveau gérant, sympathique, on reviendra quand ils auront trouvé leur équilibre, s'ils tiennent jusque là.. Année 2003 - 30 eur ( 01 46 36 60 20 - 116 rue de Ménilmontant

Futake

Un japonais tenu par des chinois (revanche de l'histoire coloniale..?) comme souvent. Ribambelle de menus sushi sashimi yakitori et tutti quanti, on en a pris un gros, et on n'a pas été malade, donc ça devait être bon. Année 2004 - 27 eur ( 01 46 36 38 87 - 1 rue des gâtines

Pizza di Roma

Le personnel n'est pas plus "di Roma" que vous et moi, la seconde spécialité de cette pizzeria étant le couscous. Néons orangés fatigants pour les yeux. Quelques idées originales dans la conception des pizzas mais c'est l'exécution qui pêche. Desserts industriels. Année 2002 - 20 eur ( 01 43 49 57 43 - 391 rue des Pyrénées


Lucullus en Chine

Avec un nom pareil, on pouvait s'attendre à des merveilles. Les spécialités chinoises comme les thailandaises sont on ne peut plus chinoises et thailandaises. Les nems sont identiques aux pâtés impériaux thailandais, dim sum standard, riz au curry. Menus pas très chers et bien copieux. Service rustique. Année 2002 - 14 eur ( 01 43 66 13 00 - 63 avenue Gambetta

Les Envierges

Vieux bistro à 2 pas du parc de Belleville. Carte courte sur l'ardoise. Plats très bistro parmi lesquels la salade lyonnaise, le (bon) boeuf bourguignon. La carte des desserts est à revoir, en particuliers la tarte aux fraises ratatinées perdues sous une épaisse couche de gelée fadasse. Année 2001 - 190 frf ( 01 46 36 47 84 - 11 rue des Envierges

Chez Jean

Vieux bistro typique de Ménilmuch' avec nappes à carreaux Vichy, service familier au bon sens du terme, ambiance musicale assurée par un trio de jazz. Les plats (et leurs prix...) se rapprochent un peu du XIème branché tout proche. Une entrée + un plat + un dessert, cela donne quand même 160 frf. Gâteau de pleurottes - pâté de tête, bien tous les deux, une bonne paupiette de veau aux girolles (mais où était la farce ?). Desserts très décevants, surtout le bavarois au réglisse à la consistance de gelée de boeuf trop cuite et le clafoutis aux raisins non épépinés. Très courte carte de petits crûs, tous à 87 frf. Année 2001 - 200 frf ( 01 47 97 44 58 - 38 rue Boyer


Ma Pomme

Voudrait ressembler à un resto branché du XIème ardt voisin. Tout l'argent a été mal investi dans d'énormes luminaires. Les tables sont en lino imitation marbre, et les fauteuils d'une finition perfectible. Les plats, présentés sur un tableau noir ainsi que les vins, sont à des prix très raisonnables. Quelques plats tout à fait corrects parmi lesquels la poelée de pleurottes et girolles sur des pommes de terre, et le très copieux jarret de porc aux lentilles. D'autres insipides comme le tartare de saumon, les noisettes d'agneau commandées saignantes et accompagnées de pommes de terre, arrivées calcinées parmi des tagliatelles. Desserts sans intérêt. Année 2001 - 220 frf ( 01 40 33 10 40 - 107 rue de Ménilmontant

Le Baratin

Authentique bar à vins de Belleville. Petite salle chaleureuse avec quelques toiles modernes. Bancs défoncés en bois pour donner un côté "authentique". On découvre la carte (très courte) sur l'ardoise. Terrine de légumes, salade d'effilochés de queue de boeuf, tendron de veau au citron et aux petits oignons, travers de porc au miel, soupe de fraises, clafoutis aux cerises. Tout est bon, y compris un vin de l'Allier très fruité. Année 2001 - 200 frf ( 01 43 49 39 70 - 3 rue Jouye Rouve

Gangnam

Ce nouvel établissement de spécialités coréennes est, sans doute, comme les autres restaurants japonais du quartier, tenu par des chinois. A l'inverse des autres établissements du quartier, ce dernier a mis le paquet sur la décoration et l'ambiance : suspensions de cordes très originales, mur végétal... Et cette décoration, bien visible depuis la rue, attire la foule. Ca ne désemplit pas! Les couverts comme la cuisine sont très soignés. Crêpes Kimchi, lentilles & ciboulette, bibimbap. Année 2022 - 37 euros ( 01 73 70 37 73 - 36 rue de Belleville


Lou Tiap

Nous retrouvons avec plaisir Anne & Olivier qui tenaient l'Hermès près des Buttes Chaumont. Charmant restaurant d'angle près du Père Lachaise. Cuisine ouverte où Olivier officie seul, sans stress.

  • Tartare de saumon d'Ecosse fumé et gravelax bio, oseille fraîche, sarrasin torréfié
  • Mini-légumes du jardin, caponata, câpre, sablé gascon et vinaigre aromatique
  • Filet de grondin de Loctudy à la plancha, risotto d'orge perlé, asperge bio et amande
  • Ballottine de poulette fermière aux légumes de l'été
  • Soupe de cerises Bigarreau à l'hibiscus, sorbet à l'infusion de petite pimprenelle
  • Riz au lait crémeux aux petits fruits de saison et basilic
Année 2017 - 55 euros ( 01 43 70 77 93 - 81 rue de Bagnolet


Chatomat

Dans une ruelle proche de Ménilmontant, un tout petit restaurant, branché fooding, franc et bon, et aux prix plus accessibles aux bobos qu'au populo.. Le menu entrée/plat/dessert, comporte un amuse bouche et une mignardise, les deux uniques mais bien goûteux. En entrée, encornets al dente, servis avec des petits oignons grelots et une réduction de bouillon de volaille. Pour suivre, veau aux petits légumes de printemps, bouillon à la cardamome, graines de moutarde. Dessert peu convaincant, pudding, crème de pruneaux, sorbet qu'on se souvient plus. Carte des vins beaucoup trop chère, difficile de trouver une bouteille à moins de 30 euros. Année 2015 - 56 euros ( 01 47 97 25 77 - 6 rue Victor Letalle


Piccola Brescia

Petit bistro ordinaire et loin de tout essayant de devenir un petit restaurant italien à la mode. Salade d'épinards frais juste pochés servis froids, avec du parmesan, cela change de la roquette. En plats, une escalope de veau mozzarella et un carpaccio de boeuf, pas mauvais tous les deux, pas très copieux quand même. Très bonne panna cotta en dessert. Petite carte de vins italiens bien choisis. Année 2006 - 35 euros ( 01 43 61 07 91 - 31, rue Pelleport

Bonjour Vietnam

Ce restaurant vietnamien à prix doux a vite trouvé sa clientèle dans une petite rue dans le quartier Jourdain. Agréable soupe au poulet citronnelle, curieux nems de crevettes dans lesquels s'était invité un cafard ! Le cochon au caramel est meilleur que la cuisse de poulet à l'orange, à part le canard, il se confirme que les asiatiques ont du mal à cuisiner la volaille. Un petit nem au chocolat finit le repas. On s'en tire à 20 euros par personne, 15 déduction faite de l'effet cafard. Année 2010 - 15 eur ( 06 46 04 03 52 - 6 rue Jean Baptiste Dumay

Le Mistral

Ressemble plus à un bar tabac qu'à un restaurant. Deux petites salles et une petite terrasse sous les bambous ouverte en été accueillent la clientèle du quartier. Plats bistro classiques à 10 eur env, la tarte du jour, une tarte grand-mère, était bien appétissante. Année 2002 - 20 euros. Longtemps plus tard, salle inchangée comme le personnel... le confit de canard était très sec, heureusement l'aligot qui l'accompagnait, tenait la route. Catastrophe avec le clafoutis aux questches en boîte... Année 2018 - 27 euros ( 01 46 36 98 20 - 401 rue des Pyrénées

Le Petit Village

Formule unique le samedi soir dans ce restaurant maghrébin de Ménilmontant. Bouteilles d’apéritif laissées sur la table pour un auto-service à volonté, petits amuses bouches classiques (olives, carottes, pommes de terre), bricks à l’œuf. Le plat étant un couscous, nous soupçonnons la cuisine d’attendre que le restaurant soit suffisamment rempli pour lancer les grandes couscoussières. Bref, pour nous arrivés assez tôt l’attente fut un peu longue. Le couscous en lui-même, servi avec 4 semoules différentes (classique, aux raisins, à la menthe, d’orge), est plutôt bon (brochettes, merguez, poulet, plus une côte de d’agneau moyenne) et comme d’habitude copieux, les plats à moitié vides on avait déjà le ventre bien gonflé.. ! Suivent la corbeille de fruits (à base de mandarines pépineuses), des dattes, et quelques pâtisseries orientales dont le seule vue rassasie..Service pas très professionnel, mais gentil, cela sent la PME familiale. Année 2009 - 40 euros ( 335 rue des Pyrénées

Le Café Noir

Joli bistro dans la très pittoresque rue Saint Blaise qui n'arrive toujours pas à décoller. L'absence de menu, en revanche, fait décoller l'addition à des sommets un peu limite pour le quartier. Dariole de poireaux et crevettes assez fade, pièce de sanglier trop rôti au miel. La bonne surprise vient du filet de boeuf très tendre et mis en valeur par une épaisse couche de foie gras bien goûteux. Année 2003 - 38 euros ( 01 40 09 75 80 - 15 rue Saint Blaise

Rital & Courts

Un ristorante qui ne demande qu'à faire partie de la longue liste des restos branchés de l'Est de Paris. La terrasse assez calme donnant sur "tout Paris" devrait ravir les touristes. Une carte sans menu et sans pizza, ce qui n'allège pas l'addition, des plats plus ou moins réussis : artichauts marinés et escalope au jambon de Parme fourrée aux artichauts pour le plus, raviolis aux cèpes et tiramisu trop crémeux pour le moins. Année 2003 - 37 euros ( 01 47 97 08 40 - 1/3 rue des Envierges

Le Bistrot des Capucins

"Ne faites pas attention au décor", avait prevenu le critique gastronomique du Nouvel Observateur... Eh bien il avait raison! Salle sans âme ( elles sont en face, au Père Lachaise) et nappes en papier.. Mais le menu à 150 F est riche de promesses, qu'il tient : en entrée, très bon marbré de foie gras/poireaux/jambon cru, pressé de chèvre au Bayonne, poivrons et tomates, pour suivre un savoureux soufflé de carrelet, et une bonne morue aux asperges. On termine avec un blanc manger et une très bonne tatin à la rhubarbe. La seule faiblesse, la carte des vins, vraiment trop courte : seulement deux blancs, dont un sauvignon, ce n'est pas Byzance. Année 2001 - 230 frf ( 01 46 36 74 75 - 27 avenue Gambetta

Japon Sakanaya

Un des nombreux clones de restaurants japonais tenus par des chinois. Toujours la même carte avec ses photos de menus sashimi, maki, yakitori... Toujours les mêmes petites soupes et petites salades de chou blanc....et toujours les mêmes prix sans surprise. Année 2009 - 13 euros ( 01 44 62 73 61 - 351 rue des Pyrennées

La Boulangerie

De cette ancienne boulangerie transformée en bistro, il reste un superbe sol tout en mosaïques. Le petit menu à prix sage démarre très bien avec une aumônière aux sardines correctement relevée. Et se termine en catastrophe avec un filet de sandre assassiné par un excès de pamplemousses et une tatin aux bananes plus tout à fait fraîches. Année 2002 - 27 euros. Nouvelle équipe, nouvelle carte, nouvelle critique.. C'est la vie qui va. Et nous avons bien fait d'y retourner, aiguillé par un fidèle lecteur ( Ohé ) que nous soupçonnons d'avoir des parts dans l'affaire. Les prix ont augmenté ( menu à 28 euros ) et on a envie de goûter à tout. Huîtres en gelée de betterave et raifort ( qui se sentent à peine ), terrine de jarret de porc avec une onctueuse sauce gribiche (c'est comme ça qu'elle doit être), entrées suivies par des Saint Jacques poêlées servies avec une émulsion de truffe bien parfumée et un risotto un peu cuit ( pas sûr que l'alliance Saint Jacques risotto soit la meilleure ). Que des desserts tentants : pour nous ce furent un macaron mousse au citron, et une nage de clémentines sorbet cassis. Intelligente carte des vins, avec quelques bouteilles servies au compteur. Année 2006 - 47 euros ( 01 43 58 45 45 - 15 rue Panoyaux

Zhen Fa

Quelques restaurants/traiteurs chinois résistent à la boboïsation du haut Belleville. Le Zhen Fa, traiteur chinois depuis 1998, dispose de quelques tables. Pas de fantaisie dans les barquettes en plastique placées sous micro onde : poulet thaï, aux champignons, nouilles sautées etc… 3 personnes derrière le comptoir qui ne chôment pas à l’heure du déjeuner. Année 2024 - 15 euros ( 01 46 36 88 08 - 132 rue de Belleville

Asahi

Comme tous les restaurants du quartier de Belleville, l'Asahi est tenu par des Chinois. Cadre élégant, tables espacées, le propriétaire ne lésine pas sur les orchidées. Un des menus les plus chers nous donne le droit à des mises en bouche. Sushis et sashimis sont un peu trop sucrés à notre goût. Année 2016 - 29 euros ( 01 43 58 78 27 - 56 rue de Belleville


Il Posto

Récemment ouvert et plein à craquer en semaine comme le week end, cette 100% pizzeria affiche une carte sans pâte (!). Une carte pizza rouge, avec sauce tomate donc, et une autre blanche, sans sauce tomate donc. Bonnes ces pizzas sans sauter au plafond, des prix dans la moyenne élevée, des tables serrées, un peu bruyant. La carte des desserts, en raison de l'absence de livraison des fournisseurs, était limitée à 2 boules glace ou pizza nutella ce soir là. Année 2015 - 33 eur ( 01 43 66 18 58 - 356 rue des Pyrenées

L'Echappée

Ambiance bistro sympa comme il y en a beaucoup, mais plutôt mieux qu'ailleurs. Carte d'un peu partout, nous en restons aux recettes hexagonales. Bon feuilleté aux roquefort et aux poires, terrine de foie de volaille assez ordinaire, boudin (petite portion aux pommes, aux poires et purée), bon pain perdu. Avec une carte des vins à prix raisonnables, l'addition reste douce. Les vendredi et samedi, "musique", ce qui fait souvent un peu peur.. Pour nous, ce fut ce soir là un duo de guitaristes assez épatant. Année 2005 - 33 eur ( 01 47 97 44 58 - 38 rue Boyer

La Sirène

Cadre moche et pizzas à pâte trop épaisse. Année 2003 - 21 eur ( 30 avenue Gambetta


Le Bistrot des Soupirs (Chez Raymonde)

Auberge de style provincial nichée rue de la Chine. Un menu pas folichon nous a conduit à consulter la carte, courte et très classique, des bons produits qui donnent de bons résultats : escargots de Bourgogne , oeuf meurette aux morilles, pavé de boeuf Rossini aux morilles avec de bonnes pommes frites au couteau, profiteroles au chocolat. Tout cela est correct, on aurait envie d'y retourner, mais c'est quand même un peu cher. Service très aimable de la patronne. Année 2003 - 50 eur ( 01 44 62 93 31 - 49 rue de la Chine


Samsara

Le tout venant des samosas aux légumes, les nan sont toujours à la vache qui rit et c'est tant mieux, le byriani aux crevettes s'appellerait paella si on était à Valencia ! Et comme le gâteau aux carottes ne me rend toujours pas aimable, je n'en prends plus ! Année 2003 - 28 eur ( 01 43 66 02 65 - 3 rue du Jourdain

Les Allobroges

A l'écart de toute animation, dans un quartier populaire, cet établissement plutôt chic surprend un peu. Le cadre est très soigné, les tables bien dressées et le service très pro. La cuisine est irréprochable mais sans étincelle : terrine de foies de volaille avec sa confiture d'oignons, salade de haricots verts aux copeaux de tourteau, gros oignons farcis à l'andouille, brandade (bien réussie !) d'haddock au basilic. On termine avec un pain perdu (une brioche très fraîche en fait) qui est accompagné d'une glace au fromage blanc. Année 2001 - 270 fr ( 01 43 73 40 00 - 71 rue des Grands-Champs

Krung Thep

Une fois terminées les exercices d'acrobatie de glissements de jambes sous les tables basses, on découvre des plats thais pas mal troussés : galettes de poissons, travers de porc dans une noix de coco, poulets marinés dans des feuilles. Malgré une situation en dehors de toute animation, ce restaurant est bondé. Additions trop élevées. Année 2001 - 250 frf ( 01 43 66 83 74 - 93 rue Julien Lacroix

Le Grand Belleville

Et c'est vrai qu'il est immense ce restaurant, bien adapté aux mariages, mais le soir de notre visite, il était un peu désert. La carte est longue, longue et la nourriture, dans la moyenne du quartier. Année 2002 - 28 eur (


Au Casque d'Or

Petite adresse sympathique de la rue des cascades dans le quartier populaire de Ménilmontant. Cuisine auvergnate assez inégale mais dans l'ensemble honorable : bonne charcuterie, terrine de poireaux riche en terrine, bon chou farci, cochon de lait à l'odeur d'arrière cuisine (et les mouches présentes ne me contrediront pas !), pain perdu inutilement compliqué. Service un peu lent mais enjoué assuré par un beur auvergnat très titi parisien. Année 2001 - 210 frf
Les mêmes quelques mois plus tard... La terrine de poireaux a toujours un étrange goût de mayonnaise industrielle. Le cou d'oie farcie (pour deux) est très bon et fond comme un bonbon, un peu comme le boeuf aux carottes de chez Faugeron. Seulement deux desserts, le pain perdu et la crème caramel, sans intérêt. Avec un petit Marcillac rouge, l'addition ne s'envole pas. Année 2002 - 34 eur ( fermeture définitive


Le Rez de Chaussée

Le cadre est sympathique, la carte (pas de menu) très attrayante avec ce qu'il faut d'originalité pour nous faire hésiter avant la commande. Va pour un navet farci aux moules, finalement moyen, et une poire pochée au lard, sympathique. En plats, un feuilleté de sandre et un steack de thon à l'aoili font l'affaire. D'après nos expériences, les desserts (un feuilleté - rassis - aux abricots - de conserve!- et un clafoutis mûres et framboises) sont à éviter absolument. Service un peu lent. Au total, un restaurant à la limite de l'envie d'y retourner faire un tour, mais.. de quel côté de la limite..? Année 2002 - 35 eur ( 01 43 58 30 14 - 10 rue Sorbier


Le Zéphyr

Depuis maintenant plusieurs années, le Zéphyr est la meilleure adresse du 20ème arrondissement. La vaste salle aux boiseries Art Déco est très agréable. A la carte, des plats copieux dans un répertoire Bistro avec une touche de modernité. Gnocchis à la duxelle de champignons recouvert de Reblochon, filet de boeuf très tendre accompagnés de légumes nouveaux, volaille de Bresse assez moyenne, très bon financier à l'orange. Vrai sommelier complètement rond. Année 2001. Récent changement de propriétaire et de chef. Cuisine un peu plus sophistiquée (avec abus des saveurs sucrées), assiettes un peu plus tourmentées, addition un peu plus salée, service un peu moins brasserie. Tout cela n'est pas mauvais (tatin de champignons, tranche d'agneau au taboulé et à la menthe, jarret de veau caramélisé au miel, assiette de desserts variés sur le thème des fruits rouges), mais il n'est pas sûr qu'on ait gagné au change. Année 2003 - 51 eur. Quelques années plus tard, une nouvelle carte, truffée de fautes d'orthographe, nous nous orientâmes du côté des plats uniques : planche de charcuterie et de fromages, une salade "piou-piou", traduire de volaille et au foie gras, sous un nid renversé en biscuit, présentation audacieuse et moche qui m'a beaucoup rappelé la tenue de mariage de l'épouse de Gilbert Montagné. Et des filets de sole aux concombres trop durs...c'est bien ça Axelle ? Année 2008 - 39 euros ( 01 46 36 65 81 - 1 rue du Jourdain